𝗦𝗨𝗣𝗘𝗥𝗩𝗜𝗦𝗜𝗢𝗡

 𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝘃𝗼𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 ? 𝗟𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗮𝗱𝗼𝘅𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗮𝗰𝗵 𝗻𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿𝘃𝗶𝘀𝗲́.

Vous passez votre temps à libérer le potentiel des autres, mais qui vous libère du vôtre ? 𝙎𝙥𝙤𝙞𝙡𝙚𝙧 : 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙘𝙤𝙪𝙥 𝙙𝙚 𝙘𝙤𝙖𝙘𝙝𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙣𝙞 𝙘𝙤𝙖𝙘𝙝𝙚́𝙨 𝙣𝙞 𝙨𝙪𝙥𝙚𝙧𝙫𝙞𝙨𝙚́𝙨. Et ceux qui le sont évitent souvent la supervision clinique. Alors, êtes-vous sûr de ne pas être le plafond de verre de vos clients ?

𝗟𝗮 𝘃𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗲́, 𝗹𝗮 𝘃𝗼𝗶𝗰𝗶 :
En coaching, en thérapie, en relation d’aide, on adore se voir comme des guides, des éclaireurs, des libérateurs de potentiel. Mais soyons honnêtes : combien d’entre nous sont réellement supervisés ? Et parmi ceux qui le sont, combien ont osé plonger dans la supervision clinique ?

𝗣𝗲𝘁𝗶𝘁 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝘁𝘆𝗽𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿𝘃𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 :
1️⃣ 𝙇𝙖 𝙨𝙪𝙥𝙚𝙧𝙫𝙞𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙥𝙧𝙖𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚 :
C’est la zone de confort. On y parle techniques, outils, cas pratiques. On apprend de nos échecs, on monte en compétence. C’est nécessaire, mais pas suffisant.
2️⃣ 𝙇𝙖 𝙨𝙪𝙥𝙚𝙧𝙫𝙞𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙘𝙡𝙞𝙣𝙞𝙦𝙪𝙚 :
C’est la zone inconfortable (mais tellement puissante). On y explore nos angles morts, nos blessures, nos croyances limitantes, tout ce qui peut influencer la relation avec nos clients. Parce que oui, vos blocages peuvent devenir les leurs. Le contre-transfert, ça existe, et ça peut faire des ravages.

𝗟𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗮𝗱𝗼𝘅𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗮𝗰𝗵 𝗻𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿𝘃𝗶𝘀𝗲́ :
Vous pouvez coacher quelqu’un à devenir plus compétent que vous, à réaliser des exploits que vous n’avez jamais osé rêver, mais vous ne pouvez pas l’aider à se libérer de ses croyances limitantes si vous n’avez pas fait ce travail vous-même.
Pourtant, combien de coachs ne sont jamais passés par la supervision clinique ? Combien préfèrent rester dans le confort de la technique, en évitant soigneusement de regarder leurs propres ombres ?

𝙇𝙖 𝙦𝙪𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙦𝙪𝙞 𝙙𝙚́𝙧𝙖𝙣𝙜𝙚 : 𝙀̂𝙩𝙚𝙨-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙚𝙣 𝙩𝙧𝙖𝙞𝙣 𝙙𝙚 𝙙𝙚𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙡𝙚 𝙥𝙡𝙖𝙛𝙤𝙣𝙙 𝙙𝙚 𝙫𝙚𝙧𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙤𝙨 𝙘𝙡𝙞𝙚𝙣𝙩𝙨 ?

𝗤𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗖𝗼𝗮𝗰𝗵𝗶𝗻𝗴 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘃𝗼𝘂𝘀 :
* 𝘈𝘷𝘦𝘻-𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦́𝘫𝘢̀ 𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘰𝘶̀ 𝘷𝘰𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘳𝘦𝘴 𝘣𝘭𝘰𝘤𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘰𝘯𝘵 𝘪𝘯𝘧𝘭𝘶𝘦𝘯𝘤𝘦́ 𝘷𝘰𝘴 𝘤𝘭𝘪𝘦𝘯𝘵𝘴 ?
* 𝘗𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘦́𝘷𝘪𝘵𝘦𝘻-𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘢 𝘴𝘶𝘱𝘦𝘳𝘷𝘪𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘤𝘭𝘪𝘯𝘪𝘲𝘶𝘦 ? (𝘖𝘶𝘪, 𝘫𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘷𝘰𝘪𝘴.)
* 𝘌̂𝘵𝘦𝘴-𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘳𝘦̂𝘵 𝘢̀ 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘲𝘶𝘦 𝘷𝘰𝘴 𝘤𝘭𝘪𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘱𝘶𝘪𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴’𝘦𝘯𝘷𝘰𝘭𝘦𝘳 ?

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